Le premier essai a été conduit en 1969. Alors, la configuration du verger haute-tige ne s’est pas révélée adaptée à cette technique qui induisait des coûts supplémentaires de récolte sans valorisation supérieure.
L'essai a été repris en 1999 dans un autre contexte du verger. Constat de la rapide altération des fruits chutés au sol et volonté d’anticiper un éventuel relèvement des contraintes de récolte notamment face au dossier patuline et à certaines démarches AOC interdisant le contact avec le sol.
La présence de fruits pourris dans les lots transformés est susceptible d'engendrer des déviations aromatiques ou organoleptiques des produits élaborés (jus de pomme, cidre, pommeau…). De plus, certains champignons (Pénicillium) sécrètent des mycotoxines (patuline) dont la teneur maximale dans les produits élaborés est réglementée.
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Objectifs de l'étude :
Le mode de secouage des arbres est un facteur déterminant pour la récolte sur réceptacle.
Intérêt de ce concept de récolte pour certains types de fabrication (jus de pomme, produits sous AOC)
Nécessité de s’orienter vers des systèmes mixtes : récolte sur réceptacle de 60 à 80 % des fruits ; récolteuse classique pour le complément
Coûts moyens de récolte : 22 €/T avec secouage par pince (un seul passage, analyse 2004) contre 15 €/T estimés pour le ramassage au sol.
Développement de ce système si meilleure valorisation des fruits
* Récolte des fruits à cidre sur réceptacle 1999-2004
* Impact du mode de récolte sur le comportement du fruit, 2001
Pour plus d’informations sur le détail de ces essais, contacter l’IFPC.
Date de la dernière mise à jour : 4 juin 2009